L’économie minée par le mauvais temps hivernal?

Qu’on le veuille ou non, les eccentricities de la météo et la bonne santé de l’économie vont rarement de pair. Cet hiver, à juste titre, l’exaspération an atteint de nouveaux sommets en raison des grands froids et des abondantes chutes de neige, aux États-Unis comme au Canada, qui ont perturbé l’activité générale et brouillé les indicateurs économiques. Ce n’est pas la première fois – ni la dernière – qu’une météo difficile pèse sur l’économie. S’agit-il d’une nouvelle réalité avec laquelle il faut désormais author ou l’avenir nous réserve-t-il des cieux in addition to cléments?

Ces dernières années, le bilan météo est plutôt dismal. Prenons 2011, standard exemple. Du début d’année jusqu’à l’automne, pratiquement chaque mois a été le théâtre d’un événement climatique majeur. Ce fut en janvier les inondations en Australie, puis en février le séisme qui a secoué la Nouvelle-Zélande; en defaces, un séisme et un wave dévastateurs ont frappé le Japon, et la liste proceed. Ces fiascos ont porté un dur upset à une économie mondiale déjà aux prises avec le marasme ayant sévi après la blade des programs de relance. Pourtant, un autre élément doit être considéré. Dans child évaluation annuelle du climat, l’onu constate des préoccupations au sujet des phénomènes météo extrêmes à l’échelle de la planète en 2013.

Cette évaluation fait état de températures records dans les hémisphères Nord et Sud, de violentes tempêtes dans diverses régions du monde, du vortex polaire (un f

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